Le centenaire de la naissance de Boris Vian, commémoration nationale, a été lancé ce 3 octobre à Paris. Son appartement de la Cité Véron a été ouvert pour l’occasion. Son aménagement nous livre une partie de la personnalité de l’artiste.
Anne Henry-Castelbou Journaliste
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Journaliste économique free-lance
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jeudi 3 octobre 2019
jeudi 12 septembre 2019
« Ma fille autiste me pousse à m’améliorer.»
Hier, France 2 diffusait un excellent épisode inédit de la saison 5 d'Alex Hugo, qui évoque la tragédie des migrants en montagne. On retrouve l'acteur principal Samuel Le Bihan, que nous avions rencontré au printemps dernier. Ensemble, nous avions évoqué un autre sujet douloureux ; la problématique de l'autisme et ses projets personnels dans ce domaine.
Le comédien est en-effet co-fondateur d’une nouvelle plate-forme téléphonique « Autisme Info Service » *. Papa d’une petit-fille autiste de 8 ans, ce projet lui a permis de s’investir dans cette cause, tout en continuant de relever le défi quotidien de l’accompagnement de sa fille.
Comment vous-est-venu l’idée ?
Il y a deux ans, je me sentais isolé et en manque d’information. J’ai rencontré Florent Chapel, papa également d’un enfant autiste et connaissant bien ce milieu. Et nous avons eu l’idée de créer cette plate-forme. On a monté une association. Mon rôle a été d’ouvrir certaines portes. Puis une équipe a pris en main l’aspect opérationnel. Mais je reste toujours co-président et très impliqué. C’est un vrai bonheur de voir ce projet aboutir.
jeudi 16 mai 2019
« L'Arche porte un mystère ! »
A l'occasion des obsèques de Jean Vanier ce 16 mai, nous republions un article réalisé en 2014, à l'occasion des 50 ans de la Communauté de l'Arche fête . Jean Vanier, son fondateur, revient sur le développement de cette communauté qui a su donner une place aux personnes avec un handicap mental.
Quel est votre regard sur le développement de l'Arche ?
L'Arche porte un mystère. Les personnes avec une déficience intellectuelle ne sont pas que des pauvres qu'il faut loger, nourrir, habiller. Elles ont aussi des choses à dire sur la société, l'église. Nous sommes donc devant un mystère qui ne peut être compris sans une expérience de vie, sans une rencontre avec ces personnes. Je me souviens d'un témoignage très fort d'une assistante d'Arras qui a travaillé dans une de nos communautés : « Je ne sais pas si l'Arche change le monde, mais moi, je suis changée ! » Le développement de l'Arche a été rendu possible grâce à ceux qui ont compris ce mystère.
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